Deux éléments me réjouissent dans la politique extérieure du N°1 américain : il avait déjà
annoncé qu’il entendait négocier une ouverture avec l’Iran. Il concrétise par son voyage en Turquie, sa volonté de voir ce vaste pays, charnière incontournable entre l’Europe et
l’Orient, nouer des liens plus étroits avec l’Europe et l’OTAN.
Pour aimer particulièrement ces deux pays que j’ai la chance d’avoir parcourus, je ne peux qu’applaudir.
Il me paraît évident que si l’Occident faisait alliance avec ces nations, il pourrait isoler économiquement la branche intégriste de l’Islam de ses bases financières et morales. Pour autant, la solution ne serait qu’un premier pas, car le Pakistan reste un soutien non négligeable pour El Qaïda et la Syrie intrigue inlassablement contre Israël, via le Liban et le Hezbollah palestinien.